Williams Lecornier
Désir et volupté.
sonnet en décasyllabes
Je te désire, ô savoureuse fente ;
Qui vivement entre ces seins reluit.
Je te veux, ô délicieux pertuis ;
Tu rends ma vie encor plus excitante.
Même si parfois, cela me tourmente.
Tu me fais oublier tous mes ennuis.
Remplissant tout le vide de mes nuits.
Lorsque mon ardeur redevient plus lente
Ce fruit convoité, suave et velu ;
Attirant par son bouquet crêpelu,
Toujours plus baisant, dans ses poils rebelles.
Dont je n'ai que pour devoir l'honorer ;
Et sans oublier, bien sûr, l'adorer.
Pour mieux l'offrir, de plus belles chandelles.
inspiré de Pierre de Ronsard.
«Les poètes l’ont si bien dit»
Désir et volupté.
sonnet en décasyllabes
Je te désire, ô savoureuse fente ;
Qui vivement entre ces seins reluit.
Je te veux, ô délicieux pertuis ;
Tu rends ma vie encor plus excitante.
Même si parfois, cela me tourmente.
Tu me fais oublier tous mes ennuis.
Remplissant tout le vide de mes nuits.
Lorsque mon ardeur redevient plus lente
Ce fruit convoité, suave et velu ;
Attirant par son bouquet crêpelu,
Toujours plus baisant, dans ses poils rebelles.
Dont je n'ai que pour devoir l'honorer ;
Et sans oublier, bien sûr, l'adorer.
Pour mieux l'offrir, de plus belles chandelles.
inspiré de Pierre de Ronsard.
«Les poètes l’ont si bien dit»
Dernière édition: